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Par Hagel - http://www.equi-nox.net
La recherche de Angeles Arrien lui a démontré que pratiquement toutes les traditions chamaniques se fondent sur le pouvoir de 4 archétypes, de façon à vivre de façon équilibrée et en harmonie avec notre environnement et notre propre nature intérieure.
La recherche de Angeles Arrien lui a démontré que pratiquement toutes les traditions chamaniques se fondent sur le pouvoir de 4 archétypes, de façon à vivre de façon équilibrée et en harmonie avec notre environnement et notre propre nature intérieure.
Les 4 voies sont
:
- Le Guerrier
Se révéler-choisir d’être présent. En étant présents, nous nous donnons le pouvoir d’accéder aux ressources humaines du pouvoir, de la présence et de la communication. C’est la voie du guerrier.
Se révéler-choisir d’être présent. En étant présents, nous nous donnons le pouvoir d’accéder aux ressources humaines du pouvoir, de la présence et de la communication. C’est la voie du guerrier.
- Le Guérisseur
Etre attentif à ce qui a coeur et sens. L’attention nous ouvre aux ressources humaines d’amour, de gratitude, de reconnaissance et de validation. C’est la voie du Guérisseur.
Etre attentif à ce qui a coeur et sens. L’attention nous ouvre aux ressources humaines d’amour, de gratitude, de reconnaissance et de validation. C’est la voie du Guérisseur.
- Le Voyant
(Visionnaire)
Dire la vérité sans blâmer ni juger. La vérité sans jugement entretient notre authenticité et développe notre intuition et notre vision intérieure. Ceci est la voie du visionnaire.
Dire la vérité sans blâmer ni juger. La vérité sans jugement entretient notre authenticité et développe notre intuition et notre vision intérieure. Ceci est la voie du visionnaire.
- Le Guide (Maître)
Être ouvert à la révélation et non pas dépendant de la révélation. L’ouverture
et le détachement nous aident à retrouver les ressources humaines de la sagesse
et de l’objectivité. Ceci est la voie de l’Instructeur (maître).
Quand nous comprenons ces expériences universelles, nous
sommes plus aptes à respecter les différentes voies par lesquelles toutes les
personnes s’expriment.
La voie du maître
La maîtrise peut être obtenue en laissant les choses suivre
leur propre voie. Elle ne peut l’être en interférant- Lao Tseu, Tao Te King
Direction : Ouest
Élément : eau (l’eau représente les émotions en général et
est l’élément du 2ème chakra)
Créatures : créatures aquatiques
Ressources humaines : la sagesse
Type de méditation : méditation assise
Façon de vivre : minutage juste
Quadruple voie : ouverture aux conséquences
Baume guérisseur : silence
Instruments : bâtonnets, os
Saison : automne
Créatures : créatures aquatiques
Ressources humaines : la sagesse
Type de méditation : méditation assise
Façon de vivre : minutage juste
Quadruple voie : ouverture aux conséquences
Baume guérisseur : silence
Instruments : bâtonnets, os
Saison : automne
Pour la direction, ce serait bien de voir à la fin quel
totem vous avez pour l’ouest, afin de mieux comprendre. S’il est à l’endroit,
vous avez des forces dans la voie du maitre, le contraire, ce serait une faiblesse.
Vous pouvez aussi avoir un surplus dans la voie du maître et ce n’est donc pas
équilibré par rapport aux autres voies (avis personnel).
Vous pouvez aussi voir dans vos totems si vous avez plus de créatures aquatiques, ce qui voudrait dire que vous avez votre force dans la voie du maître ou votre faiblesse s’ils sont plutôt à l’envers. Par exemple, j’ai deux totems aquatiques, tous deux à l’envers, je vois ce que j’ai à travailler !
Vous pouvez aussi voir dans vos totems si vous avez plus de créatures aquatiques, ce qui voudrait dire que vous avez votre force dans la voie du maître ou votre faiblesse s’ils sont plutôt à l’envers. Par exemple, j’ai deux totems aquatiques, tous deux à l’envers, je vois ce que j’ai à travailler !
Être ouvert au
résultat sans attachement
Voici le principe de la voie du maître. Cette voie a accès à
la sagesse et chaque culture a des méthodes traditionnelles et non
traditionnelles d’éducation. Le maître, ou l’enseignant, détient la sagesse,
enseigne la confiance et comprend le besoin de détachement.
La voie du maître est une pratique de la confiance, et la
confiance est le récipient dans lequel poussent les qualités de sagesse : clarté,
objectivité, discernement et détachement. La sagesse est à l’œuvre lorsque
nous nous ouvrons à toutes les options. Cette voie implique
l’instrumentalisation de la confiance.
La confiance : être à
l’aise avec l’incertitude
Les traditions chamaniques ont accès aux ressources humaines
de sagesse en apprenant à avoir confiance et à être à l’aise dans les états
d’ignorance. Dans certaines régions d’Afrique, on dit d’une personne qui se
trouve en un lieu d’ignorance qu’elle "marche sur la terre des nuages
gris".
Durant les périodes de non-connaissance, on considère qu’il
est insensé d’agir et sage d’attendre et d’avoir confiance.
L’archétype de l’escroc (trickster), que l’on trouve dans
beaucoup de traditions chamaniques, est un maître qui incite les gens à voir
leurs attachements et leurs comportements habituels. C’est en agissant de façon
inattendue que les tricksters font sortir les gens de leur routine. Donc il
n’est pas forcément négatif en soi, il nous pousse à voir notre routine. Il est
appelé le coyote chez certains peuples amérindiens (il correspond au totem),
Loki dans les anciennes tribus germaniques et Krishna dans la mythologie sacrée
de l’Inde.
Le contraire de la confiance dans l’inattendu, c’est essayer
de contrôler l’incontrôlable. Quelqu’un qui n’accepte pas volontiers
l’inattendu a des attachements, des perspectives établies et un profond besoin
de contrôle. Les attachements sont des attentes particulières, immuables, des
désirs projetés sur les gens, les lieux, les situations. Lorsque nous sommes
attachés, nous devenons rigides et directifs. Le personnage de l’escroc nous
rappelle que nous devons nous montrer plus souples et objectifs. Alors si vous
vous êtes fait escroquer ces temps ou de manière générale, vous comprenez
pourquoi !
Le thème du
détachement
Le dessein essentiel de l’archétype de l’escroc est
d’enseigner le détachement. La plupart des Occidentaux assimile le détachement
à l’indifférence. Mais le mot détachement est le plus souvent défini comme
"la faculté de compatir profondément de point de vue objectif". Dans
ce contexte, nous parlons de lâcher prise, non-attachement en gardant notre
sens de l’humour. Si nous considérons ce qui nous fait perdre notre sens de
l’humour, nous pouvons identifier nos points d’attachement.
Quand nous sommes détachés, nous pouvons observer calmement
nos réactions aux situations et ne pas nous laisser gagner par une réaction
émotionnelle (comme nous le conseille le totem le faucon). Il ne faut pas
confondre avec la froideur ou l’indifférence.
Harrison Owen, dans Leadership is, a dit "ceux qui sont
là sont ceux qui doivent y être : le moment ou l’on commence est toujours le
bon, ce qui arrive est la seule chose qui pouvait arriver ; quand c’est fini,
c’est fini".
Le principe d’acceptation n’est pas la même chose que la
résignation. Peut-on accepter l’expérience telle qu’elle se présente et en
tirer une créativité, au lieu de se résigner passivement ? L’acceptation est
une part importante du détachement. Le sentiment de résignation est toujours le
signe de la présence de l’attachement.
Perte et rituel
La perte apprend aussi le détachement, que ce soit la perte
d’attachements, perte de territoire, de structure, d’avenir, de sens, de
contrôle. Beaucoup de traditions chamaniques reconnaissent que le rituel aide
les personnes à accepter leur perte. Celui-ci est un acte conscient de
reconnaissance d’un changement dans la vie.
Si vous êtes dans une période ou vous sentez que vous perdez
le contrôle, que vous marchez "sur des nuages gris", que vous êtes en
situation de perte, que vous avez été escroqué, ou je ne sais quoi, c’est que
la vie vous fait le cadeau d’apprendre le détachement...
Mode de
positionnement, jugement et contrôle
Lorsque nous sommes capables de mettre en valeur notre soi
tout en sachant écouter notre autocritique, nous commençons à utiliser les
ressources de sagesse qui sont en nous. Mais nous faisons l’expérience du côté
sombre de l’archétype du maître lorsque nous nous trouvons dans des états
rigoureux en se jugeant, en voulant contrôler et en se positionnant (il s’agit
ici de perdre sa flexibilité). Ces modes sont généralement fondés sous la peur
et révèlent toujours un manque de confiance.
Si en nous observant, nous estimons que nous surexprimons
ces modes (jugement, contrôle positionnement), n’oublions pas que nous avons
également en nous un considérable don de sagesse qui attend d’être pleinement
sollicité. Par exemple, les personnes qui ont des natures critiques peuvent les
utiliser de façon constructive.
Universellement, il y a deux sources de nuisance : la peur
et l’ignorance. La fonction essentielle de la peur est de nous avertir que
quelque chose peut nous faire du tort. Ainsi, nous pouvons flairer le danger.
Malheureusement, nous sommes effrayés dans un grand nombre de situations qui ne
nécessitent pas de telles mesures de protection. L’effet principal de la peur
est de réduire l’énergie, ce qui peut nous nuire mentalement et physiquement et
nous amener à adopter l’attitude "combattre ou fuir".
La confusion
L’ignorance peut parfois être source de confusion, qui, avec
le doute, est l’opposé de la clarté. Lorsque nous ressentons de la confusion,
il est mieux d’attendre plutôt qu’agir. Si les circonstances font qu’il est
impossible de ne pas agir, nous devons alors rechercher les zones de clarté en
nous et n’agir que là.
Les attachements
L’archétype du maître exige que nous équilibrions nos
capacités de façon à être aussi détachés qu’attachés. Lorsque nous sommes
attachés à un résultat, notre tendance est de vouloir contrôler plutôt que
d’avoir confiance. Lorsque nous sommes attachés à quelque chose, nous perdons
souvent notre objectivité sur ce sujet, et par conséquent, nous perdons notre
capacité à faire les choses correctement.
Il est important de se rappeler que la sagesse est toujours
souple et rarement rigide. Lorsque nous augmentons nos capacités de souplesse,
nous augmentons nos capacités à exprimer notre sagesse et à lâcher prise à nos
attachements.
Vous vous souvenez sans doute d’un moment dans votre vie ou
vous êtes resté sur votre positionnement avec entêtement face à un problème, et
ou vous avez du faire face à d’autres choix et perspectives que vous n’aviez
pas vu auparavant. Vous découvrez soudain une autre et meilleure solution.
Réalisant cela, vous êtes passé d’une position d’attachement à une position
souple de sagesse. Mais n’oubliez pas que le changement avec résignation est
toujours le signe que vous êtes encore attaché.
Le silence
Le silence est un baume guérisseur pour les enfants blessés
de l’Ouest. Beaucoup de traditions spirituelles pensent que les conseils
intérieurs et les expériences personnelles viennent au cours des moments de silence
ou des périodes de solitude. L’ours est un totem qui peut nous guider vers ce
silence.
Le fait d’écouter nos propres conseils est une manière
d’honorer notre sagesse intérieure. Les périodes de silence et de solitude nous
permettent d’obtenir plus de clarté d’objectivité et de discernement... alors
quand vos moyens de communication comme le portable et internet ne fonctionnent
plus, vous comprenez le message ! Le I Ching dit que pour qu’un changement soit
un succès, nous devons être comme un grand arbre enraciné au bord d’une
rivière, ce qui veut dire que nous avons besoin à la fois de tranquillité
(arbre) et d’activité (rivière). En Occident, nous connaissons trop bien
l’importance du mouvement, mais nous avons besoin de comprendre que le silence
et les périodes de solitude sont des moyens essentiels de nous ouvrir aux
conseils intérieurs et de remplir notre âme.
Suggestion : accordez-vous chaque jour un moment de silence
et un jour par mois de silence complet afin d’écouter votre sagesse propre.
Vous pouvez aussi demander de l’aide à vos totems pour ceux qui ont apprivoisé
leur totem de l’ouest et leur totem aquatique. Et pour ceux qui ne connaissent
pas leur totem, je vous propose de demander la force de l’ours pour accéder au
silence, et au saumon pour accéder à sa sagesse intérieure.
Invoquer les esprits
des ancêtres
Durant les périodes de silence, nous pouvons aussi obtenir
des conseils des esprits des ancêtres pour nous aider dans nos défis familiaux.
Certaines traditions chamaniques croient que l’invocation des ancêtres nous
aide à aller de l’avant. On utilise parfois des instruments de musique pour
prendre contact avec les esprits des ancêtres. On utilise les cliquètements des
bâtonnets ou des os. Chaque clic représente notre engagement à briser les
mauvais comportements familiaux ou culturels. Par exemple, si l’alcoolisme a
été un mauvais comportement familial, nous avons l’occasion de tirer des leçons
des erreurs de nos ancêtres et les honorer en choisissant de ne pas perpétuer
cette attitude familiale.
Dans beaucoup de traditions, la méditation assise est la
position universelle employée pour accéder à la sagesse. Bien sûr, le faire
dans le silence est encore mieux.
On dit que la méditation assise est la position
d’apprentissage et de réceptivité que l’être humain utilise pour recevoir un
enseignement. Beaucoup de cultures indigènes l’utilisent aussi pour la prière
silencieuse ou pour une observation attentive des révélations intérieures. La
méditation assise apprend à attendre, écouter et observer ce qui est révélé.
Pour le détachement, on peut aussi faire des randonnées, des
sorties en rivière, l’escalade, nager, la plongée ou la pêche...
Le but de la méditation est d’honorer un temps sacré. C’est
un temps consacré à l’introspection, à la contemplation, à découvrir et honorer
le sacré ou le divin.
Asseyez-vous sur une chaise ou sur le sol les yeux fermés,
les jambes croisées ou décroisées. Dans cette position et ce temps sacré, vous
pouvez demander des conseils. la méditation assise fournit l’occasion de
transformer la critique intérieur en témoin pur. Elle permet d’agir au-delà des
polarités et paradoxes internes ou externes.
Durant la méditation, imaginez-vous être un ours, un saumon,
ou votre totem qui est à l’ouest, c’est selon vos inspirations. Je ne suis pas
spécialiste de la méditation, mais le livre dit que 15 minutes par jour est
suffisant... Je pense que ce n’est déjà pas mal, et il vaut mieux s’accorder un
petit moment plutôt que de prévoir un temps qu’on arrivera pas à respecter.
Les relations du
maître à la nature
Le principal maître en détachement dans la Nature est
souvent grand-mère océan, qui est l’exemple naturel fondamental de flexibilité
et de souplesse. Pour certaines cultures indigènes, la direction de l’ouest est
le foyer de celle-ci et des toutes les créatures aquatiques. La direction de
l’ouest est le lieu ou beaucoup de populations indigènes invoquent le pouvoir du
silence. Donc, vous pouvez aussi demander l’esprit de grand-mère océan pour vous
aider par rapport à votre maitre intérieur, elle vous répondra.
Les cultures indigènes considèrent que l’eau est sacrée par
ses capacités à nettoyer, nourrir, soigner et purifier. Cette direction nous
rappelle que la sagesse, comme grand-mère océan, est toujours souple et
rarement rigide.
Voici des questions qu’on peut se poser régulièrement pour
développer notre enseignant intérieur. Vous pouvez faire l’exercice ici ou chez
vous et partager vos réflexions, vos résultats.
1 : Quels ont été les professeurs importants dans ma vie ?
Parmi ces enseignants lesquels ont été des sources d’inspiration et lesquels
ont été des sources de défis ? Quelles ont été les qualités qui m’ont attiré
vers eux ? Que cela révèle-t-il sur mon propre enseignant intérieur ? Pour qui
avez-vous été un professeur et qui considérez-vous comme votre mentor ?
2. Quels sont mes attachements dans ma vie personnelle ? Dans
ma vie professionnelle ? Dans ma vie spirituelle ?
3. Quel est mon niveau de tolérance pour le silence et ma
capacité à rester seul ?
4. Quels ancêtres m’ont inspiré ou provoqué ?
5. Quelles sont mes capacités à attendre en temps de
confusion ? Quelles parties de ma vie comportent une certaine confusion
actuellement ?
6. Quelles sont mes peurs habituelles ? Qu’ignoré-je
consciemment ?
7. Quels comportements familiaux négatifs voudrais-je briser
consciemment et ne plus perpétuer ?
8. Quelles sont les qualités de mes antécédents familiaux et
de mon héritage qui ont été perpétuées, que je peux qualifier de "bonnes,
vraies et belles" ?
9. Comment ai-je géré les pertes dans ma vie ? Parmi les 6
catégories de perte, auxquelles dois-je faire face le plus souvent ?
La voie du Guérisseur
Dans toute maison ou j’entrerai, je prodiguerai mes soins -
Le serment d’Hippocrate
Direction : Sud
Élément : Eau, Terre
Créatures : Quadrupèdes
Ressources humaines : Amour
Type de méditation : Allongée
Façon de vivre : Discours juste
Quadruple voie : Faites attention
Baume guérisseur : Contes
Instruments : Tambour
Saison : Printemps
Élément : Eau, Terre
Créatures : Quadrupèdes
Ressources humaines : Amour
Type de méditation : Allongée
Façon de vivre : Discours juste
Quadruple voie : Faites attention
Baume guérisseur : Contes
Instruments : Tambour
Saison : Printemps
L’archétype du
guérisseur : prêter attention à son cœur et à ce qu’il exprime.
Cet archétype est une structure mythique universelle que
tout être humain a expérimentée. Dans certaines cultures indigènes, le
Guérisseur ressortit au principe de prêter attention à ce qui a cœur et
signification. Les guérisseurs, dans toutes les grandes traditions, admettent
que le pouvoir de l’amour est la force de guérison la plus puissante pour tous
les êtres humains. Les guérisseurs efficaces de n’importe quelle culture sont
ceux qui déploient les bras d’amour : reconnaissance, acceptation, validation
et gratitude.
Le Cœur à 4
compartiments
Beaucoup de cultures indigènes croient que le cœur est le
pont entre le Père Ciel et Mère Terre. Pour ces traditions, le cœur a quatre
compartiments, la source qui soutient la santé émotionnelle et spirituelle. Il
est plein, ouvert, clair et fort pour l’archétype du Guérisseur.
Ces traditions disent qu’il est important de contrôler
quotidiennement l’état du cœur à quatre compartiments en se demandant :
"ai-je le cœur plein, le cœur ouvert, le cœur clair et le cœur fort
?"
Lorsque nous n’avons pas le cœur plein, nous abordons les
gens et les situations sans enthousiasme. Le fait de penser que nous devrions
faire une chose alors que nous n’en avons pas envie forme le manque
d’enthousiasme. Et lorsque nous manquons d’enthousiasme, il est temps de nous
sortir de la situation.
Quand nous avons de la peine à ouvrir le cœur, donc
lorsqu’il se ferme, nous sommes sur la défensive.
Quand nous n’avons pas le cœur clair, nous sommes troublés,
notre cœur doute. C’est à ces moments que nous devons attendre. Les états
d’ambivalence ou d’indifférence sont les précurseurs de la confusion et du
doute. Lorsque nous sommes dans cet état, nous devons attendre la clarté au
lieu d’agir.
Lorsque nous n’avons pas le cœur fort, c’est que nous
n’avons pas le courage d’être authentique ou de dire ce qui est notre vérité.
Un cœur fort, c’est lorsque nous avons le courage d’affirmer l’ensemble de ce
que nous sommes dans notre vie. Le mot courage est dérivé de cœur - c’est la
capacité de rester près de son cœur. Lorsque nous faisons preuve de courage,
nous faisons attention à ce qui a cœur et signification.
Les six sortes d’Amour
Universel
Le maintien de la santé du cœur à 4 compartiments nous
permet d’explorer les modèles d’amour universel et de nous y ouvrir :
- Amour entre amis et amoureux
- Amour entre parents et enfants
- Amour entre collègues et camarades
- Amour professionnel entre prof étudiant, thérapeute-client, etc.
- Amour inconditionnel ou amour spirituel.
- Amour entre parents et enfants
- Amour entre collègues et camarades
- Amour professionnel entre prof étudiant, thérapeute-client, etc.
- Amour inconditionnel ou amour spirituel.
Mais qu’est-ce que la
guérison ?
Tous ces types d’amour sont des portes s’ouvrant sur la
guérison. Jeanne Achterberg, dans Woman
as Healer, parle de huit concepts qui aide à une vision équilibrée de la
guérison.
1. La guérison est le voyage de toute une vie vers la
totalité.
2. La guérison est le rappel de ce qui a été oublié au sujet de la connexion, de l’unité, et de l’interdépendance dans toutes les entités vivantes et non vivantes.
3. La guérison est l’étreinte de ce qui fait le plus peur.
4. La guérison est l’ouverture à ce qui a été fermé, l’adoucissement de ce qui s’est endurci et a obstrué.
5. La guérison est l’entrée dans le transcendant ou l’on expérimente le divin.
6. La guérison est la créativité, la passion et l’amour.
7. La guérison est la recherche de l’expression de soi dans sa plénitude.
8. La guérison est l’apprentissage de la confiance en la vie.
2. La guérison est le rappel de ce qui a été oublié au sujet de la connexion, de l’unité, et de l’interdépendance dans toutes les entités vivantes et non vivantes.
3. La guérison est l’étreinte de ce qui fait le plus peur.
4. La guérison est l’ouverture à ce qui a été fermé, l’adoucissement de ce qui s’est endurci et a obstrué.
5. La guérison est l’entrée dans le transcendant ou l’on expérimente le divin.
6. La guérison est la créativité, la passion et l’amour.
7. La guérison est la recherche de l’expression de soi dans sa plénitude.
8. La guérison est l’apprentissage de la confiance en la vie.
Lorsque l’un de ces concepts est insuffisant chez nous, nous
n’avons pas accès à l’amour et à la santé.
Le principe de
Réciprocité
Guérir implique le principe de réciprocité, la capacité à
donner et à recevoir de manière égale et la capacité à se connecter. Pour
garder santé et bien-être, nous devons maintenir l’équilibre entre croissance
et réception, et reconnaître lorsqu’un mode prend trop d’importance et qu’un
autre est insuffisamment exprimé. Le principe de réciprocité contrôle
l’équilibre de notre santé et de notre amour.
Source: Par Hagel - http://www.equi-nox.net
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